Harry Blackstone Copperfield Dresden(long)

Avant de commencer, j'aimerais jsute vous souhaiter bon courage... Cela me tentait d'écrire un récit... Je ne l'ai aps relu alros j'espère qu'il n'est pas trop emmerdant. En tout cas, j'espère pouvoir poster avec vous bientôt!!!

• I. Identitée
  
  Nom: Dresden
  Prenom: Harry Blackstone Copperfield , mais Harry suffira
  Age: 16
  Année: 5eme
  Date et lieu de naissance: 15 juillet 1992
  

[list][*] II. Personnage .


Caractère : Que dire de Harry Dresden? Bien, ce n'est pas trop compliqué, en fait. C'est un jeune homme dont l'intelligence en surprends plusieurs, et la vitesse d'esprit aussi... Mais des fois ces deux facteurs décident juste de l'aider à la dernière seconde, souvent juste avant qu'il se face touché par un sort ou aplatit par une automobile tombant du ciel(oui, cela lui est déjà arrivé). Cette idée apporte aussi celle de la chance. Oui, i lest très, mais TRÈS chanceux. On pourrait dire qu'il a un ange gardien muni d'un attirail de porte bonheurs mais avec un don pour attiré le trouble. Drôle d'ange gardien non? Celui qui veut voir à quel point il peut gardé... Mis à part son intelligence développé grâce à ses voyages et son passé(voir histoire), il y a aussi cette drôle de manie d'être super galant, surtout avec les filles. Quand une fille lui demande de l'aide, il accourt comme un chevalier en armure aidant une dame en détresse(même si c'est juste pour de l'aide pour un devoir... Oui, il est comme cela). Cependant, cette galanterie se voie parfois mis de côté pour laisser voir un tempérament très spécial. Difficilement corruptible, il peut passer d'une humeur à l'autre lorsqu'on l'agresse et surtout lorsqu'on agresse une fille. Il n'est pas le genre qu'on doit trop coller d'insultes ou bien de menaces car il réplique fortement et sans hésitations. Il n'est pas du genre à tuer, trouvant que cela est lâche mais surtout parce que juste l'idée de tuer fait monter son estomac à la gorge... Façon de parler, bien sur. Il est aussi quelqu'un de sérieux, qui veut contrôler un pouvoir qui est né en lui et dont la maîtrise lui échappe encore par bout. Il est vrai que des fois il se retrouve à taquiner ou bien à jouer, mais cela est très rare, considérant qu'il a de la misère à se faire des amis... Il a appris à vivre seul et en voilà une grande conséquence. Néanmoins, il est capable d'avoir un vocabulaire soigné et méticuleux sans gêne ou honte, un talent presque sortit du néant, un peu comme son pouvoir magique, qu’il maudit à ce jour. Harry Dresden est un garçon plein de mystères et ce serait triste de tous les révélés ici, alors voilà ou sa description prends fin.

Description Physique : Ahlala… La description physique. Comment décrire Harry en quelques lignes… Eh bien, il est un jeune homme de grande taille(oui, quel début non ?), surtout comparé à la moyenne. On s’entend que les gens de 6 pieds et plus on ne voit pas cela très très souvent. Sa taille lui a déjà causé plusieurs problèmes, incluant quelques visites d’oiseaux qui pensaient qu’il était un poteau lorsqu’il lisait. Il n’a cependant pas une grande musculature pour se joindre à la taille. Il est vrai qu’il peut se montrer fort, mais il a des limites qui se voient assez tôt lors d’une séance de musculation. Néanmoins, il sais comment utiliser la force qu’il a à son avantage et cela peut faire de lui un bon adversaire. Si nous laissons tombé sa carrure, il a un visage bien tranché et de beaux yeux. La couleur est souvent difficile à déterminé, car elle prends des teints différents selon les environs et son humeur… Un ‘‘cadeau’’ de son passé. Ses yeux se retrouvent donc parfois à être sur performants mais aussi à le rendre presque aveugle. Il s’arrange cependant avec ce qu’il a. Sinon, il a souvent la chevelure un peu folle, montrant son dédain pour tout sens de mode et surtout qu’il a des choses plus importantes à faire que de se coiffer. Il est donc un mec pas trop laid mais pas beau au point ou les filles lui tombent au pieds. Il ne peut pas tout avoir quand même.

Histoire : Ou une histoire commence t’elle? Certains se disent à la naissance ou après un événement spécial dans la vie de cette personne. Cependant, cette histoire commence vraiment lors de l’adolescence de son père, Robert Dresden. Robert avait eu une belle enfance, entourée par de sourires et de petites richesses, ses parents ayant leur propre petite fortune. Ce n’était rien de super et ils n’aimaient pas s’en venter, mais ils savaient que s’il y avait quoi que ce soit, l’argent était là pour les aider. Voilà pourquoi Robert se mit à rêvé. Il allait souvent voir des spectacles et autres, étant moniteur de camp de jour. Avec ses enfants, il allait voir des spectacles de magie et fut aussi fasciné que les enfants qui y étaient. Il aimait voir le sourire de tous ceux qui regardaient le spectacle et surtout celui sur le visage du magicien lorsqu’il aboutissait ses tours. Voilà d’ou viens sa passion pour la magie, qu’il ne pourra jamais expliquer à ses parents, qui voulaient faire de lui un chef d’entreprise, celui qui prendra la relève après son père. Il était le seul fils de la famille, n’ayant qu’une sœur jumelle, qui semblait toujours appuyer ses rêves. Elle était si intelligente qu’il se disait qu’elle devrait prendre la tête de l’entreprise et non lui. C’est alors qu’il eu une idée. S’il disparaissait et partait à jamais, il n’aurait pas à prendre la tête d’une entreprise avec laquelle il ne voulait rien savoir. Le sport, cela ne l’intéressait aucunement. Il fit donc part de ses plans à sa sœur et parti seul, emmenant avec lui qu’un peu de linge et son savoir sur les tours de magie. Il commença par faire des petits tours par si et par là, se ramassant assez d’argent pour manger, mais pas pour se loger. C’est alors qu’il tomba sur un magicien à l’âge fertile, qui lui appris tout son art. À la mort de ce dernier, Robert hérita de ce qu’il lui restait mais surtout de ses secrets. Il monta donc l’échelon de la magie, devenant un des meilleurs magiciens de spectacles connu, après Harry Houdini, Harry Blackstone et David Copperfield. C’est lors d’un de ses spectacles qu’il fut attaquer par un monstre du vrai monde de la magie, qui croyait éliminer un vrai magicien. Il se battu de son mieux, mais il ne pouvait rien contre cette créature. C’est alors qu’un flash lumineux inonda les lieux et repoussa le monstre assez longtemps pour que Robert se libère. Il couru vers la source de la lumière, pour y voir une jeune demoiselle avec une baguette dans les mains. Il tomba amoureux d’elle et, après quelques sorties, elle tomba amoureux de lui. Lui aimait les pouvoirs de la fille et elle aimait le fait qu’il en avait pas. Tous les deux emménagèrent ensemble et sont devenus sédentaires. Robert, ayant appris que la vrai magie existait, voulait un enfant magique. La jeune demoiselle, Julie Carpentier de nom, ne voulait rien savoir, ayant même cassé sa propre baguette. Ils eurent néanmoins un enfant, que Robert nomma après ses idoles de la magie sur scène.
Voilà ou l’histoire de Harry Blackstone Copperfield Dresden commence. Il est donc né dans une famille ‘‘magique’’, si on peut appeler la magie de scène de la vrai magie et si l’on considère que Julia connaissait, dans sa jeunesse, la magie. Dès un jeune âge, Harry démontra un certain talent pour la magie. Des objets semblaient se déplacer autour de lui sans que personne ne comprennent pourquoi, des objets placés en hauteur se retrouvaient dans ses mains sans que personne ne le voie ou touche à cet objet. Julie, voyant les signes, voulu cacher cela de son mari, Robert. Elle ne voulait pas que son enfant, Harry, soit pris dans le monde de la magie, surtout dans ces moments dangereux. S’il se retrouvait dans la guerre des magiciens qui se passait en ce moment, elle ne pourrait jamais se pardonner. Elle trouva donc une explication pour tous les phénomènes qui se passaient autour de la maison, disant que c’était probablement elle-même qui le faisait dans son subconscient. Robert, qui ne savait pas grands choses à ce côté de la magie, accepta cette explication. Cependant, ce que Julie de savait pas, c’est que, dès qu’Harry eu l’âge de parler, Robert lui mettait des idées de magie dans la tête. Il voulait tellement avoir un enfant magique qu’il poussait l’enfant à l’apprendre, même après avoir promis à Julie de ne pas le faire. Il croyait cependant avoir un enfant sans talent et comme tous les autre.
Cela changea le jour ou Robert était seul avec Harry à la maison et le vit faire descendre un objet d’une haute étagère. Robert avait justement mis les objets préférés à Harry sur cet étagère pour voir s’il allait développer des capacités. Harry, jeune, ne savait pas vraiment ce qu’il faisait. Il voulait juste ses jouets. C’est ce jour que commencèrent les vrais problèmes de Harry. Il venait d’avoir 5 ans et allait commencer la maternelle dans quelques mois. Évidemment, Robert fit mine de rien devant Julie mais quand cette dernière était partie, il bourrait le crâne d’Harry d’idées de magie. Harry commença donc la maternelle pensant qu’il était comme tous les autres, que la magie était normale. Il ne savait pas l’utilisée, mais il pouvait tout de même en parler. Il en parla grandement en maternelle et en première année, lorsque les enfants croyaient tous en ce monde mystique. C’est cependant en vieillissant qu’il vit les attitudes de tout le monde changer. Tout le monde sortait de cette phase sauf lui. Il commençait à se faire taquiner, appeler des noms les plus méchants et même battre. Il ne savait pas comment se défendre et donc pris l’abus sans rien dire à ses attaquants. Non, ce n’était pas après eux qu’il était fâché. C’était après son père. Il n’en dit rien, jusqu’au jours ou quelqu’un lui vola tout son linge et le laissa courir nu dans la cours de récréation, ne sachant pas quoi faire. C’est ce soir là qu’il rentra et cria à son père, disant qu’il ne voulait rien savoir de ce monde de la magie. Il voulait être normal et comme les autres. Il ne voulait pas être ce que son père voulait. Julie, elle, ne pu s’empêcher d’entendre les cris de son fils. Elle confronta donc son mari, disant qu’il était un imbécile de lui avoir dit tout ce qu’il savait sur le monde magique et de forcer Harry à devenir magicien.
Après cette chicane, tout semblait aller bien. Harry faisait comme si le monde magique n’existait pas et fut de plus en plus accepter. Il accumula un certain savoir et un vocabulaire enrichi pour son âge, grâce à la lecture qu’il faisait. Il y avait encore des chicanes à la maison au sujet de son apprentissage magique, mais Harry fit mine de rien. Tout alla bien jusqu’au jour ou son père vint faire de la magie à son école. Il était un bon magicien de scène, bien sur, mais il voulait ajouter un petit quelque chose à son spectacle. Il appela donc son fils sur scène et essaya de lui faire descendre des objets qui se retrouvaient en hauteur et toute sorte de truc de ce genre. Harry, se sentant humilié devant tous ses compatriotes, parti en courant, retournant chez lui. Il sauta dans les bras de sa mère et lui expliqua tout ce qui s’était passé. Julie, furieuse, attendu l’arrivé de son mari, le soir même. Robert arriva, ma mine joyeuse, car son spectacle, sauf cette épisode avec son fils, s’était tout de même bien passé. C’est lorsqu’il vit la mine enragée de sa femme qu’il comprit qu’il avait commis une grave erreur. Une chicane intense débuta, ou les deux se lancèrent des menaces sans arrêt. Harry, dans sa chambre, n’en pouvait plus d’entendre ces chicanes. Il n’avait peut-être qu’onze ans, mais il avait maturé à une vitesse que personne n’aurait cru possible. Il descendit donc confronter ses parents. Les mots ne sortirent cependant pas. Il ne savait que dire et ses parents ne faisaient que crier après lui pour qu’il retourne dans sa chambre. La rage cumula donc en lui et il perdit contrôle de ses sens. La rage se transforma en un feu qui ravagea la maison entière en quelques secondes. Ses parents se retrouvèrent vite enterrés sous un amas de débris… Cela pris un soir entier pour que les pompiers puissent éteindre ce feu magique. On retrouva deux cadavre sur place. Ceux de Julie et de Robert. Celui du fils, Harry, n’y était pas. Les officiers décidèrent donc que le feu, qui avait été intense, aurait peut-être commencé à brûlé près du fils et il s’était répandu avec les cendres.
En fait, cela n’est pas ce qui est arrivé. Harry avait trouvé une façon de s’échapper au carnage qu’il avait créé. Le sol s’était effondré sous lui, le faisant tombé dans un sous-sol qu’il ne savait pas existait. C’est à cet endroit qu’il fit une photo de sa mère, habillée en drôle de robe noir. La rage bouillant encore en lui, il prit la photo et voulu la casser, se disant que ses pouvoir devaient venir de sa mère… Il arrêta net son geste quand il se rappela de tout ce que sa mère avait fait pour lui. Il comprit que ce n’étais pas de sa faute et qu’elle avait voulu le protéger. Il prit donc le cadre et partit à la course. Il s’arrêta juste aux abords de l’océan, ou il pleura toutes ses chaudes larmes. Il venait de tuer son père et sa mère de sang froid. Il n’avait même pas pensé à les aider. Il était juste parti, pensant qu’à lui même. Il n’était pas mieux que tous ces gens qui abandonnaient leurs compatriotes dans les livres qu’il lisait. Il se jeta une malédiction sur lui-même, sans vraiment s’en rendre compte. Il voulait se punir pour ce qu’il avait fait. Il voulait surtout ne pas revoir ce qu’il avait fait. Il voulu se rendre aveugle et même devenir hideux, pour que personne ne puisse l’approcher. Il ne voulait plus faire de mal. C’est alors que ses pensées eurent un effet sur lui. Ille vit dans le reflet de l’eau, ses yeux changeants de couleurs sans arrêt, le rendant plus ou moins aveugle. Il ne comprenait pas comment il l’avait fait, mais il se dit qu’il le méritait. Peut-être que personne ne l’approcherait et qu’il tombera en bas d’une falaise un jour, se retrouvant soudainement aveugle. Il se rappela alors du cadre avec la photo de sa mère, qui écrasait entre ses bras. Il s’en rappela plus parce qu’il sentit une vive douleur et quelque chose de chaud coulé sur ses bras et sa poitrine. Il avait tellement serré fort sur le cadre qu’il s’était cassé et la vitre avait coupé Harry. Il jeta donc le cadre plus loin sur le gazon, pleurant encore plus à cause de ses coupures. Il vit alors une lettre qui dépassait de la photo de sa mère. Il la prit. Elle avait une drôle d’insigne et semblait avoir été écrite à la plume. Il la lie et vit que c’était une invitation que sa mère a reçu d’une école de magie; Poudlard. Il regarda l’adresse. Cet école se retrouvait en Angleterre!!!! Néanmoins, il décida d’y aller, pour pouvoir finalement avoir le contrôle de ses pouvoir, pour ne plus faire de mal aux autres.

C’est à ce moment que commence sa vrai aventure, celle qui durera un ans et demi, et qui, il espérait, le mènerait à Poudlard. La première chose à faire, était de trouver une façon de s’y rendre et surtout de savoir ou cela se retrouvait. Il demanda donc à des passants ou était l’Angleterre, croyant que c’était un quartier non-loin. On lui expliqua, grâce à une carte, que c’était à l’autre bout de l’océan ! Comment allait-il s’y rendre? Il devait prendre la bateau, bien sur, mais comment? Ses parents lui avaient appris qu’il devait payer pour tout. Alors, comment pourrait-il payer si ses parents ne lui avaient jamais rien donné? Il alla tout de même au port et vit pleins de bateaux. Il demanda lesquels allaient en Angleterre et en trouva finalement un. Évidemment, la capitaine ria de lui quand il dit qu’il voulait partir sans argent et sans parent. Il s’assied alors sur le quai, mine triste, ne sachant que faire. Il se retrouvait encore au point zéro. Il pleura un bon coup et n’entendit pas l’approche de l’homme qui vint s’asseoir à ses côtés. Cet homme semblait bien pauvre mais avait un visage qui inspirait la confiance. Harry, étant tout de même jeune, se blottit contre cet homme et pleura, expliquant toute son histoire en chemin. Il ne savait que faire. Il n’était qu’un enfant perdu dans le monde des grands. Il pouvait essayer de faire le héros ou bien de suivre ce que le monde faisaient dans ses livres, mais la plupart étaient des adultes. Il se logea donc contre cet inconnu, qui, surpris, mis un bras autour de lui et écouta son histoire. Il essaya de dissuader cet enfant de se mêler à la magie, mais Harry ne voulait rien savoir. Le vieil homme soupira donc et décida de l’aider. Il prit Harry par la main et, en secret, entra sur le bateau destiné pour l’Angleterre.
Ils y firent leur voyage là, mangeant ce qu’ils pouvaient voler sans se faire voir. C’est lors de ce voyage qu’Harry vit un drôle de bout de bois attaché à la ceinture de son compagnon de voyage. Cela pris quelques jours avant de réaliser qu ‘il ressemblait à celui sur la photo de sa mère, lorsqu’elle était magicienne. Il interrogea donc l’homme, qui fut surpris de savoir qu’il fut démasqué si vite. Harry demanda donc le nom de l’homme. L’homme s’appelait David et était magicien. Le passé est bien employé ici. Il avait renoncé à cette vie, gardant cette baguette pour se rappeler des horreurs qu’il avait commis sous la malédiction. Harry lui demanda donc de lui apprendre tout ce qu’il pouvait sur le monde de la magie. David, se sentant un peu pris au piège, lui expliqua tout sur les modes, coutumes et comment vivre dans une société magique. Il refusa cependant de lui montrer de la magie.
Arrivé en Angleterre, le passé de David revint en force. Harry et David eurent environ 3 mois de paix, ou Harry en appris plus sur David et le monde de la magie. Il se faisait préparé et il avait concocté une liste d’achat pour l’école. Il y eu même un drôle d’hibou qui déposa une lettre à l’entré de leur cachette avant de reprendre son vol. Oui, leur cachette. David avait insisté sur le fait qu’ils se cachent, disant que son passé les hanteraient. Il avait bien raison. Harry eu à peine le temps de prendre la lettre, dont l’insigne lui rappela celle de sa mère, que des figures émergèrent de nulle part. Il rentra à la course dans la cachette, allant réveiller David, qui dormait encore à cette heure matinale. Il fut néanmoins sur ses pieds en moins de deux, prenant Harry par le bras et le menant vers la sortie de secours qu’ils s’étaient fabriqués. Ils partirent à la course, des sorts fusant de tous les bords. David refléta ceux qui s’approchaient le plus d’eux et ils purent s’enfuir sans trop de mal. Ils se trouvèrent une autre cachette, s’assurèrent que rien ne manquait et furent calme pendant quelques mois. Harry eu le temps de prendre connaissance de la lettre d’invitation pour Poudlard ainsi que la liste qui y était. Il ajouta quelques éléments à cette liste, ceux que lui avaient suggérés David. Parlant de David, ce dernier lui expliqua pourquoi il était pourchassé. Dans le temps ou il était un magicien de bon calibre mais de caractère brûlant, il fit face à un mangemort et l’insulta. Le mangemort, au lieu de le tuer, lui a jeté un des trois sorts impardonnables; Imperius. Il avait donc été sous le contrôle de cet homme lorsqu’il a été forcé de tué une famille de sorciers. Après le massacre, il revint à ses sens et s’enfuit pour l’Amérique, ou la magie n’était pas très évoluée. Il ne voulait rien savoir à la magie et aux forces qui le chassaient, ces Aurores qui devaient protégé la société magique, mais surtout les bons amis de la famille. Harry sentit de la compassion pour cet homme et accepta l’histoire, qui était vrai.
Il était tard le soir quand ils se furent attaqués à nouveaux. Harry ne savait pas quoi faire. Il s’était levé pour entendre des bruits de pas encerclant la maison et un voix qui tonnait: «David Singefield, sort de ce lieu ou tu seras tuer, ainsi que l’enfant qui est sous ta tutelle!». David se leva en sursaut et me regarda, la mine triste. Il sortit alors un paquet d’une de ses poches et le lança à Harry. Il lui expliqua qu’il y avait, à l’intérieur, les instructions pour se rendre au chemin de traverse, ou il devra tout acheter. Il dit qu’il y avait aussi un clef qu’il utilisera pour ouvrir un coffre-fort à Gringotts. Harry regarda David de ses yeux d’enfant qui venait s’avoir 12 ans. Il savait que 12 était un âge important dans le monde magique et il savait les responsabilités qui allaient avec. Il savait aussi ce que David avait l’intention de faire. Mais, avant qu’il puisse l’arrêter, David sortit, baguette en main et fit une distraction. Harry hésita quelques secondes mais décida de partir, utilisant la distraction de David pour le faire. Au loin, il entendit le cri d’agonie de David. Il voulu se retourner mais ne le fit pas, sachant que David lui en voudrait de s’être sacrifié pour rien.
Cela pris quelques jours à Harry pour se rendre au Chemin de Traverse. En ces lieux, il alla à la banque, et sortit de l’argent. Il y en avait une petite fortune, assez pour qu’il puisse payer ses dépenses scolaires pour quelques années. Peut-être, s’il était chanceux, tout son séjour à Poudlard. David lui avait expliquer comment fonctionnait la monnaie et le séjour à Poudlard. Harry était donc prêt. Il allait en premier lieu à Olivanders. Le choix se fit facilement. Il entra et vit une baguette qu’Olivander avait sortit pour un élève. Avait que l’élève puisse faire quoi que ce soit ave, Harry la prit des mains de l’homme et sentit une sensation de bien l’englober. Il donna un petit coup et vit un pot de fleur, probablement détruit par l’autre jeune homme, qui avait une pile de baguette à côté de lui, se reconstitué et devint comme neuf. Le vieil homme fit un drôle de sourire et lui dit : la baguette t’a choisi, jeune homme. Elle est composé de noisette, symbole de l’intuition, de la poésie de la méditation mais surtout de la sagesse, un bois qui est à lui-même rarement attribué à un homme de si jeune âge. Il lui dit aussi que son cœur était un ventricule de cœur de dragon, pouvant symboliser la force. Il spécifia aussi qu’elle était de 30cm exactement. Harry la regarda, paya et partit. Il fut fasciner par cet objet. Le reste de ses achats se passèrent sans que rien ne se passe. Il s’arrêta cependant devant un magasin de balais. Devait-il s’acheter un balais? Il regarda ce qu’il lui restait, ayant divisé son argent en 7 ans. Il lui en restait assez pour acheter un balais haut de gamme. Pas exactement le meilleur, mais assez proche, ayant acheter bien des articles seconde main. Il entra donc, acheta le balais et garda le reste comme argent de dépense pour l’année, au cas ou il en aurait besoin. Il alla a la gare, traversa le mur et attendit que le train arrive et reparte. Il ne parla à personne, ayant décidé de se renfermer sur lui-même. Il avait fait assez de mal comme cela. Il fut cependant surpris que personne ne passait des commentaires sur ses yeux. Il ne se laissa cependant pas distraire par ce détail, pensant à ceux qu’il avait tué et celui qui s'était sacrifié pour lui. Il embarqua sur le train, son passé et sa galanterie comme bagage, et partit vers Poudlard ou, il espérait, son futur l’attendait…
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• III. Un peu plus....
  
  Baguette (bois, longueur, ingrédient magique ): Noisette, 30 cm, ventricule de cœur de dragon
  Animal de compagnie : aucun… la solitude est son meilleur ami
  Objets magiques (balai....): balai, baguette et ses yeux, s’ils peuvent être considérés des objets et aussi quelque chose de magique.
  

• 
  IV. Derrière l'écran ...
  
  
  Maison souhaitée pour votre personnage : Je laisse cela au choixpeau
  Pseudo/Prénom: Hmmm…. devinez
  Age: 18
  Fréquence sur le fo : le plus souvent possible
  Autre chose ?: euh…Pardonnez-moi pour la longueur! Je vous aime !
  t'es sur ?: Je crois être sur de vous aimer ouais…
  T'as lu le réglo ?: Lu et approuvé monseigneur et mesdemoiselles

Snif Snif... On m'a oublié! LOL repondez si vous voyez et dites si vous avez lu svp

Hey tu sais quoi ? J'ai lu entièrement ton histoire !!

Elle est géniale, bravo !!

Bienvenue !!!

Zut de flute mon image est pas assez grande? Mais ça alors! Bon il y a pas de problème je vais voir les dimensions dans les règlements et essayer d'arranger cela. Merci!

Au juste Heaven, je suis surpris que tu ayes bien compris. Mais c'est bien! Content que tu ayes aimé!

Signé... roulement de tambour... Cachou

Edit: Mon avatar ne veut rien savoir! Snif Snif!

Ne t'inquiètes pas, j'ai attangé ton avatar

Et je ne suis pas si bête que ça tu sais !!

Validé, of course !